Mon pays du Levant couche la nuit
aux bord des grands chemins poussiéreux
la tête reposant sur une roche pleureuse
à l'abri cependant des tempêtes altières
Là, tout n'est que bruit de sabots enterrés
fossiles retrouvés et vestiges d'étincelles incendiaires
car mon pays ne s'est levé qu'hier
mais s'endormira encore demain
dès que son peuple en aura fini
de se condamner à la peine de vivre
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